La
France à l'endroit
Sommaire :
Introduction
: Le courage de dire non
Chapitre
1: Le monde à l'envers
Chapitre
2: En démocratie surveillée
Chapitre
3: Le rassemblement national
Chapitre
4: L'impératif du renouveau
Chapitre
5: La remise en ordre
Chapitre
6: L'avenir est ouvert
Conclusion : Le temps du
réveil
Chapitre 6
L'avenir est ouvert
L'alternative politique
que je propose pour remettre de l'ordre dans notre pays
est parfaitement d'actualité. Même si le
paysage public et le panorama des forces sociales paraissent
aujourd'hui totalement bloqués, l'avenir de notre
nation se révèle en réalité
particulièrement ouvert. Derrière les apparences,
le système de la pensée unique est sans
aucun doute plus fragile qu'on ne le croit et les facteurs
de renouveau plus puissants qu'on ne le dit. D'autant
que les évolutions géopolitiques et idéologiques
poussent à un renversement du rapport des forces
dans notre société. Un basculement politique
d'envergure pourrait donc bien se produire plus tôt
qu'on ne l'imagine, et sans crier gare.
Il est vrai qu'aujourd'hui rien ne transparaît de
ces bouleversements à venir. Notre pays semble
comme lancé à grande vitesse sur des rails
dont on ne pourrait plus le faire dévier. La puissance
des tenants du système et la force de la pensée
unique seraient inébranlables et aucun projet,
aussi parfait soit-il sur le papier, ne paraît pouvoir
aller contre cette réalité omnipotente.
Pourtant, la force même de ce système constitue
paradoxalement un signe qui devrait frapper nos compatriotes
et leur faire comprendre que la réalité
ne correspond pas aux apparences. Car la formidable puissance
dont dispose le système pour imposer ses vues et
annihiler ses adversaires ne repose sur aucun schéma
légitime, pas plus qu'il n'est le résultat
d'un quelconque processus démocratique normal.
Si l'affrontement avec le régime en place paraît
donc si difficile, c'est qu'il ne relève pas, quoi
que l'on en dise, d'un combat politique ordinaire se déroulant
loyalement devant les électeurs, candidat contre
candidat, programme contre programme. Il est d'une autre
nature et comporte une dimension totalitaire.
La pensée unique est en effet beaucoup plus qu'une
simple mode intellectuelle ou une école de pensée
qui aurait provisoirement prévalu sur les autres.
Elle est en réalité une authentique idéologie
qui cherche à s'imposer à tous et à
tout selon une démarche totalitaire. Certes, j'en
suis bien conscient, elle ne se présente pas comme
une idéologie classique. Ses zélateurs ne
se réfèrent pas à un grand gourou
comme les communistes ont vénéré
Karl Max, ils n'ont pas leur bréviaire comme les
maoïstes ont eu le Petit Livre rouge. Elle n'en n'a
pas moins toutes les caractéristiques d'une idéologie
totalitaire.
La pensée unique a en effet ses dogmes : le mondialisme,
les droits de l'homme, la lutte contre les exclusions.
Elle a ses gardes rouges : les organisations prétendument
antiracistes qui pourchassent avec sectarisme tous les
déviants. Elle a ses ennemis institutionnels :
comme les marxistes avaient le bourgeois ou le patron,
comme les nazis avaient le juif ou le tzigane, les tenants
de la pensée unique ont le "raciste"
ou le "fasciste". Et malheur à ceux qui
sont désignés comme tels : qu'ils le soient
ou non, ils seront bannis ! Le politiquement correct a
en effet ses pratiques de déportation qui ne sont
pas sanglantes mais médiatiques. Le blasphémateur
ne sera pas coupé du monde, mais coupé des
médias. Il a aussi ses intellectuels à la
botte qui vilipendent ceux qui refusent la pensée
conforme. Il peut également compter sur ses officines
de propagande qui sélectionnent les émissions
médiatiques, les spectacles de show-biz et les
manifestations culturelles.
La pensée unique cherche par ailleurs à
présenter sa vision comme l'aboutissement ultime
de l'évolution des sociétés. Certains
penseurs du politiquement correct n'ont-ils pas évoqué
la fin de l'histoire et la mort des idéologies
? Comme si les antagonismes qui marquaient la vie des
hommes et des civilisations étaient en train de
s'estomper et qu'avec la disparition du clivage Est-Ouest,
avec les sanctions imposées aux États récalcitrants
comme l'Irak ou la Serbie, on allait en finir une fois
pour toutes avec les conflits d'idées et d'intérêts.
Il est vrai qu'avec l'explosion du terrorisme islamique,
cette vision irénique me semble aujourd'hui bien
décalée. Mais, il y a encore quelques mois,
beaucoup croyaient que le monde allait vers son unité,
et qu'avec la disparition des nations, des races ou des
religions, tout ce qui a pu provoquer des guerres se trouverait
aboli. Et les tenants du politiquement correct de nous
chanter les vertus de cette formidable unification qui,
sous la houlette de la mondialisation économique,
allait porter la planète à son apogée.
Quoi de plus naïf et de plus contraire à la
réalité du monde ? Mais quoi aussi de plus
dangereux? Car les idéologies globalisantes et
totalitaires qui dans le passé ont voulu réaliser
le bonheur humain ont toujours été à
l'origine des plus grandes catastrophes. Et comment, d'ailleurs,
ne pas voir dans cette pensée unique un succédané
un peu réactualisé du marxisme ? Car, je
suis frappé d'observer que, dans l'un et l'autre
cas, le schéma demeure le même. Il ne s'agit
plus de la lutte contre les inégalités mais
de la lutte contre les exclusions. L'objectif n'est plus
d'unifier la société en supprimant les classes
sociales mais d'unifier le monde en détruisant
les nations. On ne doit plus abattre les bourgeois mais
les patriotes. On ne cherche plus à atteindre le
paradis rouge de la société communiste mais
le paradis multicolore du monde globalisé. Et malheur
aux adversaires : comme il n'y avait pas de pitié
pour les ennemis de classe et pas de liberté pour
les ennemis de la liberté, ceux qui pratiquent
l'exclusion seront exclus.
La pensée unique est donc bien de nature idéologique
et totalitaire, et c'est pourquoi je suis convaincu que
l'on peut lui opposer une véritable alternative.
Car, si la réalité correspondait à
ce qu'en disent les sectateurs du régime, tout
serait en effet figé et la France n'aurait plus
d'autre choix que de suivre la voie toute tracée
du politiquement correct. Si la situation que nous connaissons
n'était que le résultat quasi mécanique
des contraintes objectives du monde moderne comme le prétendent
les responsables de l'établissement, toute tentative
pour changer de politique serait en effet vouée
à l'échec.
Mais il n'en est rien. Car, si en revanche nous vivons
bien sous un régime d'essence totalitaire, c'est
qu'il existe en dehors du champ clos du système
un formidable espace de liberté que nos compatriotes
ne soupçonnent pas. Pour peu que l'on brise les
tabous du régime et que l'on refuse son idéologie,
tout ce qu'on nous présente comme impossible devient
alors réalisable. Le domaine des possibilités
n'est plus cantonné aux seules options autorisées
par le système, il se révèle infiniment
plus vaste et le projet de renouveau que je propose pour
la France apparaît dès lors réaliste
et raisonnable.
Il est vrai que, pour en arriver là, il faut au
préalable faire voler en éclats le carcan
totalitaire que nous impose la pensée unique. Mais
je crois qu'une telle perspective est parfaitement possible.
Car le régime que nous subissons est loin d'être
aussi puissant qu'on l'imagine. Il m'apparaît en
effet à la fois vétuste et fragile et, s'il
se maintient encore par la force des habitudes, il a en
réalité perdu ses fondements, sa légitimité
et sa vitalité.
Le signe le plus patent de cette décrépitude
nous est d'ailleurs donné par les origines mêmes
de ce système. Qu'on y songe. L'établissement
qui dirige notre pays n'a connu aucun renouveau réel
depuis le lendemain des années cinquante. Qu'il
s'agisse du régime de la IVe République
ou de celui de la Ve, ils sont directement issus de l'après-guerre.
Que ce soit la gauche socialo-communiste ou la droite
gaulliste et centriste, c'est la deuxième guerre
mondiale qui a fondé leur pouvoir et leur légitimité.
Et il en va de même du monde syndical, des journaux
et des lobbies. Ce n'est donc pas un hasard si tous se
réfèrent autant à cette période
de notre histoire.
Aujourd'hui, l'établissement a largement perdu
sa prise sur le réel et révèle, année
après année, la fragilité croissante
de son assise populaire. Aussi cherche-t-il à compenser
cette faiblesse en faisant revivre artificiellement les
événements qui autrefois ont fondé
son pouvoir. La deuxième guerre mondiale est donc
sans cesse invoquée comme une incantation pour
tenter à la fois de régénérer
le système et de diaboliser ses adversaires. Faute
de légitimité réelle, le régime
essaye de se raccrocher à une légitimité
virtuelle, celle qu'il construit artificiellement en se
réclamant de la Résistance et de la lutte
antifasciste. Comme si, impuissant à agir sur la
réalité d'aujourd'hui et de demain, il cherchait
refuge dans le passé en s'efforçant de plaquer
sur le monde actuel des schémas qui datent d'il
y a plus de cinquante ans. En ce sens, je l'affirme, les
responsables du politiquement correct appartiennent clairement
au passé. Loin d'être ancrés dans
le vingt et unième siècle et quels que soient
leur âge et leur passion pour Internet et le multimédia,
ils s'affirment comme des hommes du vingtième siècle
maintenant révolu.
Quant aux prétendues élites qui soutiennent
la pensée unique et sont donc censées la
structurer et la nourrir, leur indigence est à
la hauteur de leur arrogance. D'ailleurs, jamais dans
notre histoire, les figures intellectuelles, artistiques
ou morales n'ont été aussi soumises, aussi
stériles, aussi unanimistes et irresponsables.
Et la vacuité de leur pensée démontre
la faiblesse d'un système qui ne repose en réalité
sur rien de profond.
Car, sur toutes les grandes questions, c'est le même
discours quasi incantatoire qui revient. Le même
discours larmoyant, moralisateur et mondialisant, comme
si tous, par lâcheté ou médiocrité,
ne pouvaient que décliner les mêmes poncifs
et ressasser les mêmes clichés. Mais, ce
faisant, ils révèlent surtout la grande
indigence de la pensée unique. Car, si elle est
unique, c'est précisément parce qu'elle
n'est pas une pensée mais une simple logorrhée
dictée par un terrorisme intellectuel aussi stupide
et aveugle que celui pratiqué par les dictatures
du vingtième siècle. Aussi les forces délétères
qui plongent notre pays dans le désordre sont-elles
beaucoup moins puissantes et irrésistibles qu'on
ne nous l'affirme.
La force du régime et des mécanismes pervers
qu'il véhicule réside en réalité
dans une simple mise en scène politico-idéologique
qui vise à abuser les Français. Ainsi existe-t-il
un véritable montage destiné à rendre
légitime la pensée unique et à discréditer
ceux qui la contestent. Un montage dont je constate que
les mécanismes, fondés sur le simplisme
et le cynisme, sont tout à fait conformes aux règles
élémentaires de la propagande. Ils tiennent
en deux postulats : la nation est condamnable, la mondialisation
est irréversible.
Aussi peut-on entendre les tenants du système rabâcher
sur tous les tons le caractère inéluctable
de la mondialisation. Pour eux, elle avance, tel un rouleau
compresseur auquel il serait vain de faire obstacle car
"jamais on n'a pu arrêter le progrès".
Ignorant toute autre considération, passant sous
silence la conscience des peuples, les aspirations spirituelles
des hommes et la force des réalités ethniques
et historiques, ils ne jurent plus que par leur vision
idéologique du melting-pot planétaire.
De même, les grands prêtres de la pensée
unique ne cessent de stigmatiser la nation dont le caractère
néfaste, rétrograde, voire immoral, ne serait
plus à démontrer. Même traitement
pour le patriotisme, la conscience nationale et l'attachement
à un passé historique présentés
comme autant de sentiments désormais jugés
passéistes et ringards. Et ceux qui s'y accrochent
se trouvent évidemment marqués du sceau
infamant du racisme. Car, pour les sectateurs du système,
peu importe que la France ait traversé quinze siècles
et marqué l'histoire du monde. Elle doit être
balayée pour la seule raison qu'elle est une nation.
Et la nation c'est l'exclusion, la régression et
la guerre.
Il est frappant de voir que, dans ce schéma manichéen,
on ne cherche pas à démontrer, à
argumenter ni à justifier. On assène, on
martèle et surtout on condamne. Tout ce qui renvoie
à la nation, au peuple, aux communautés
et aux identités sera considéré comme
le mal et tout ce qui est mélange, ouverture, métissage
et brassage sera présenté comme le bien.
La propagande du régime apparaît à
ce stade d'autant plus odieuse que ceux qui brandissent
l'arme morale pour disqualifier les idées qu'ils
combattent sont souvent ceux-là même qui
se livrent à la corruption et bafouent les règles
les plus élémentaires de la morale individuelle
et civique. Et je suis scandalisé de voir ainsi
jusqu'où l'on pousse aujourd'hui l'hypocrisie :
d'un côté on évacue la morale du domaine
des actes individuels, de l'autre on l'utilise dans le
champ politique pour discréditer les conceptions
que l'on combat ! Or, rien n'est plus contraire à
l'ordre des choses et chacun sait que la morale doit régenter
le comportement des personnes et non servir de justification
hasardeuse à des choix partisans.
Une telle attitude montre en tout cas la fragilité
du système réduit à se fonder exclusivement
sur un dévoiement de la morale et contraint de
recourir à un véritable montage éthico-idéologique
pour tenter d'asseoir ses thèses.
Car, en pratique, la réalité ne correspond
en rien au schéma de la pensée unique. La
nation demeure un modèle accompli d'organisation
des communautés humaines auquel adhèrent
de très nombreux peuples, y compris les Américains
dont chacun a pu constater le patriotisme au lendemain
des attentats islamistes du 11 septembre 2001. Quant au
brassage planétaire qu'on nous présente
comme un processus inéluctable du monde qui vient,
il est loin d'être généralisé.
Le mécanisme de mondialisation accélérée
touche en effet principalement l'Europe et l'Occident,
mais fort peu les autres régions du monde. Ainsi,
par exemple, les phénomènes de migration
ne concernent pas l'Afrique ni l'Asie. à l'évidence,
aucun courant migratoire ne vient envahir la Chine, l'Inde
ou le Nigeria. Cette mondialisation à laquelle
tout devrait être subordonné n'atteint finalement
que les peuples européens et je pense d'ailleurs
qu'elle n'en est que plus inquiétante encore.
En tout cas, ce grand courant mondialisateur dont l'établissement
et les médias font la promotion ne représente
donc en réalité qu'un phénomène
limité. Limité dans l'espace mais aussi
dans le temps. Car le monde ne s'achemine pas vers toujours
plus de mélange et d'unité. Au contraire,
on assiste un peu partout à un réveil des
identités. N'oublions pas que c'est le sentiment
national qui a joué le rôle de catalyseur
dans la chute du communisme et dans l'éclatement
de l'URSS. Le réveil de l'islam, la montée
de l'intégrisme musulman et du terrorisme islamique
vont dans le même sens et chacun peut constater
qu'ils ont fait voler en éclats les beaux schémas
du nouvel ordre mondial. Ainsi, les monstrueux attentats
de New York et de Washington révèlent chez
les islamistes une volonté fanatique d'affirmer
leurs propres valeurs face au mondialisme. Quant à
la Chine, elle cultive un sentiment national très
fort, tout comme l'Inde, le Pakistan et la plupart des
pays en voie de développement. En réalité,
le monde de demain sera plus affirmé dans sa diversité
et dans la variété de ses identités
qu'il ne l'est aujourd'hui. Tout comme le monde d'aujourd'hui
apparaît au fond moins unifié que celui du
début du vingtième siècle quand l'Europe
dominait la planète entière et imposait
partout son modèle de civilisation.
Le phénomène de l'affirmation des nations
et des peuples constitue donc, n'en déplaise aux
pseudo-penseurs de la pensée unique, une réalité
d'avenir. Et le schéma idéologique qu'on
nous présente comme le seul possible n'est donc
rien d'autre qu'une imposture coupée du monde réel.
Aussi le régime sous lequel nous vivons se révèle-t-il,
malgré son caractère totalitaire et sa puissance
apparente, beaucoup plus fragile et vulnérable
qu'on ne le croit au premier abord. Il s'apparente aujourd'hui,
toute proportion gardée et dans une version très
molle, au pouvoir soviétique dans ses dernières
années. Attaché à une idéologie
passéiste, coupé du peuple et sourd à
ses souffrances, impuissant à peser sur la réalité
et à résoudre les problèmes concrets
de notre pays, il ne se maintient que par l'inertie totalitaire
du système.
Mais, de la même façon que le régime
soviétique, considéré en son temps
comme inébranlable, s'est effondré d'un
coup, de la même façon le système
du politiquement correct pourrait bien s'écrouler
brutalement. Aussi n'y a-t-il aucune fatalité au
maintien du régime actuel et à l'aggravation
du désordre qui frappe notre pays. Il est possible
de changer de politique et les obstacles à surmonter
pour y parvenir sont sans doute moins considérables
qu'on ne l'imagine, de même que les forces du renouveau
sont potentiellement plus puissantes qu'on ne le croit.
D'ailleurs, le grand changement que je propose à
notre pays ne serait pas un phénomène isolé.
Déjà, en Europe, il commence à se
dessiner avec plus ou moins d'ampleur. Ainsi, en Autriche,
avec la participation au pouvoir des amis de M. Haider,
le verrou du politiquement correct a sauté. En
Italie, le succès de la Maison des libertés
rassemblant, avec MM. Berlusconi, Fini et Bossi, toutes
les vraies droites italiennes a ouvert les voies d'un
renouveau. Et l'Italie a pu, sans provoquer la moindre
émotion, lancer une procédure législative
sur l'immigration intégrant explicitement la préférence
nationale en matière d'emploi. Un vent nouveau
se lève également en Suisse, en Flandre
et au Danemark où les peuples refusent certains
diktats de la pensée unique. En Espagne, une droite
décomplexée n'hésite pas à
braver certains tabous de la pensée unique, notamment
en matière d'immigration. Je constate même
qu'en Grande-Bretagne, le gouvernement, pourtant travailliste,
de M. Blair n'a pas voulu mettre en cause les acquis fiscaux
de l'ère Thatcher. La France, où les gouvernements
de gauche comme de droite mènent une politique
socialo-mondialiste, apparaît donc de plus en plus
isolée et de plus en plus en retard.
Il est temps que cela change. Et ce changement peut intervenir
plus facilement et plus rapidement qu'on ne l'imagine
aujourd'hui. Le système en place s'apparente en
effet à un colosse aux pieds d'argile. Soutenu
par des élites indigentes et des forces politiques
dépassées, il s'appuie sur une idéologie
sans fondement et ne se maintient que par un montage politique.
Pratiquant le dévoiement de la morale et la manipulation
de la réalité, il ne survit que par l'imposture
et se retrouve aujourd'hui à contre-courant des
évolutions électorales, idéologiques
et géopolitiques du monde et de l'Europe.
Je suis donc convaincu que les Français peuvent
facilement bousculer ce système totalitaire et
montrer au monde l'exemple d'un grand renouveau. Un renouveau
qui transformera la légère brise qui souffle
sur notre continent en un vent frais et puissant capable
de chasser les miasmes du socialo-mondialisme et de ramener
de l'ordre en France et en Europe. Tel est mon projet.
Un projet désormais possible et qui ne dépend
plus que de la volonté des Français.
|